Formation en entreprise
Source de cette étude menée ici, via Courrier international.
Louise Richer, qui en a fait son sujet d’étude universitaire, expose avec passion les sérieux bienfaits de l’humour en milieu de travail, tels que la consolidation d’équipe, la résolution de problèmes et l’amélioration des communications interpersonnelles et publiques sont documentés.
Depuis plusieurs années, des équipes de recherche se sont intéressés à l’utilisation de l’humour en gestion.
Récipiendaire de l’Ordre d’excellence en Éducation du Québec en tant que membre distinguée en 2022, de l’Ordre du Canada en 2016, du Mercure Leadership Germaine-Gibara catégorie PME 2015 et du Prix femmes d’affaires du Québec OBNL 2014, Louise Richer, directrice générale fondatrice de l’École nationale de l’humour, titulaire d’un EMBA McGill – HEC Montréal et gestionnaire aujourd’hui reconnue dans le milieu des affaires, partage sa vision singulière de l’humour et de son utilisation stratégique en entreprises.
Rencontre préparatoire
Une session de travail préparatoire d’une heure avec le comité organisateur sera à prévoir afin d’adapter le contenu en fonction des réalités de l’entreprise. Les questions et les intérêts formulés au préalable par le comité organisateur et les personnes qui participent durant cet échange avec les personnes du comité organisateur serviront à alimenter le contenu de la causerie.
Causerie
À la suite d’une introduction d’une quarantaine de minutes sur la place et la fonction de l’humour en entreprise, la parole est ensuite donnée à un ou une haute dirigeante invitée et sélectionnée selon les objectifs et intérêts du comité organisateur. Le ou la gestionnaire invité sera ainsi appelé à réagir et à partager sa vision sur la question.
Période d’échange
Une période d’échange avec les participants est finalement prévue en fin d’activité qui aura eu une durée totale environ 1 h 30.
Le lieu de convergence des expertises en humour au pays et dans la francophonie.
La mission de l'École nationale de l'humour peut être réalisée grâce au soutien financier du Ministère de la culture et des communications du gouvernement du Québec ainsi qu'avec l'appui financier du ministère du Patrimoine Canadien du gouvernement du Canada